aurore polaire en Alaska (photo web)
Voici ma première note consacrée à cette mystérieuse et elliptique sinuosité verte que l'on nomme aurore boréale. Terme bien poétique lorsqu'on songe à la myriade d'explications scientifiques qu'il recèle ; à renfort de protons, d'électrons, d'atomes, d'oxygène, d'azote, de champ magnétique,... A cela vient s'ajouter (plus inquiétant encore !) un son... comme un souffle fragile déchirant la voûte céleste. Peu m'importent les justifications de la science face à ce phénomène ! Non pas que je dédaigne la curiosité ni la valeur des informations scientifiques, mais, invétérée rêveuse, je préfère continuer à y entrevoir une part de mystère.
Dans mes rêves d'évasion et de bien-être, lorsque je ferme les yeux, je me vois, par la beauté d'une nuit australe, électrisée, non pas par la richesse scientifique mais par la magie d'une aurore boréale.
Je me vois aussi, au sommet des dunes de Merzouga, contemplant le silence des ses nuits étoilées. Mais cette "vision" fera l'objet d'une prochaine note afin de continuer l'explication du titre de mon blog...
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